Le logiciel privateur est souvent malveillant
On appelle logiciel privateur, ou logiciel non libre, un logiciel qui ne respecte pas la liberté des utilisateurs et leur communauté. Cela signifie que son développeur ou son propriétaire exerce un pouvoir sur les utilisateurs. Ce pouvoir est en soi une injustice.
Cette page vous montrera que cette injustice première conduit souvent à d'autres injustices.
Le pouvoir corrompt, et donc le développeur du programme privateur est tenté, dès sa conception, d'y introduire le traitement inéquitable des utilisateurs – en somme, d'en faire un programme malveillant, un malware (ce qui signifie que le fonctionnement du logiciel fait du tort à l'utilisateur). Bien sûr, le développeur ne fait généralement pas cela par méchanceté, mais plutôt pour mettre les utilisateurs en état d'infériorité. Cela ne rend pas cet état de fait moins mauvais ni plus légitime.
Succomber à cette tentation devient de plus en plus fréquent ; c'est pratique courante de nos jours. Le logiciel privateur moderne est fait pour les pigeons.
- Société ou type de produit
- Apple
- Microsoft
- Appareils mobiles
- Swindle d'Amazon1
- Sociétés fraudeuses, qui masquent leurs intentions.
- Type de malveillance
- Portes dérobées
- Censure
- Insécurité
- Sabotage
- Interférence
- Surveillance
- « Gestion numérique des restrictions » ou « DRM » – fonctionnalités conçues pour limiter ce que les utilisateurs peuvent faire avec leurs ordinateurs.
- Prisons – systèmes qui imposent une censure aux programmes d'application.
- Tyrans – systèmes qui rejettent tout système d'exploitation non « autorisé » par le fabricant.
Les utilisateurs de logiciel privateur sont sans défense contre ces formes d'abus. La seule manière de les éviter est d'exiger du logiciel libre (respectueux de la liberté). Ses utilisateurs ont d'assez bons moyens de se défendre contre les fonctionnalités malveillantes puisque ce sont eux qui le contrôlent.
Note de traduction
- Swindle : arnaque. ↑